Comme il faut bien s’occuper avant la reprise de la saison, nous avons demandé à des personnalités de composer leur 5 idéal. Aujourd’hui, c’est Jean Sarkozy, héritier, qui s’attèle à la tâche :
Salut la France d’en bas. Les jeunes pop’ m’ont conseillé d’adoucir mon image et donc de troquer le scooter contre le sport. Quelques coups de fil plus tard et voilà que j’ai donc une tribune dédiée sur 24 secondes, blog éminemment influant dans la sphère politico-sportive. Sans doute ravis de pouvoir s’encanailler contre le pouvoir en place, les responsables de ce blog m’ont chargé de dresser la liste des joueurs NBA qui, « comme moi », sont moins bien connus dans leur milieu que leur père et sont donc catalogués comme fils de... Et que quelque part, ils doivent énormément à la renommée de leur géniteur. Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour garder une bonne cote de popularité en attendant de pouvoir assurer la relève…
PG – Coby Karl
Il vagabonde en fin de banc de diverses équipes, dans un rôle purement anecdotique. George, son père, n’a eu une carrière de joueur que légèrement plus significative. Mais George Karl s’est fait un nom en étant l’un des coachs les plus respectés en NBA, en ayant été notamment 4 fois sur le banc du All-Star Game
SG – Brent Barry
En soi, Brent Barry n’a pas a rougir de sa carrière, couronnée de 2 titres NBA avec les Spurs et même d’un award du meilleur dunker en 1996. Mais il a du se coltiner l’ombre massive de son père Rick. Jugez plutôt du palmarès du vieux : Rookie of the Year en 1966, Champion et MVP des Finales en 1975, 6 fois dans la All-NBA Team, 8 apparitions au All-Star Game dont 1 titre de Mvp. Le tout accompagné bien évidemment d’un paquet de points et divers records. C’était fort logiquement qu’il apparaissait dans la sélection des 50 meilleurs joueurs que la NBA ait connue.
SF – Danny Schayes
Malgré une année énorme à Syracuse, Danny n’aura jamais su concrétiser en NBA, bien ralenti il est vrai par les pépins physiques. Son père Dolph était un All-Star confirmé, avec 12 présences au match des étoiles. Cet Hall of Famer a fait également parti du Top 50 édité par la ligue en 1996. Véritable machine à stats, il a été le premier joueur à cumuler 30 000 PRA (points+rebonds+assists) en carrière. En 1966, trois ans après une expérience d’entraîneur-joueur, il a même été élu meilleur coach de NBA.
PF – Leron Ellis
Lui aussi est un joueur très correct sortant de l’université qui n’a pas su trouver son rythme en NBA. Il faut dire qu’il fallait supporter la comparaison avec papa Leroy, membre de la mythique équipe des Lakers. Celle de 1972, qui a enchaîné 33 victoires consécutives.
C – Larry Mikan
Bien entendu que ce nom vous dit quelque chose. Son père George était surnommé Mr.Basketball, ce qui témoigne du niveau de maîtrise de ce pivot pionnier. Larry, lui, a loin d’avoir eu l’impact de son père ; puisqu’il n’a joué qu’une seule saison, à 3pts et 2 ,5rebs.
*Ceci est bien entendu factice. Si le vrai Jean Sarkozy (ou un membre des RG) nous lis, nous serons honorés de réparer notre erreur de jugement en proposant son vrai 5 majeur.
Salut la France d’en bas. Les jeunes pop’ m’ont conseillé d’adoucir mon image et donc de troquer le scooter contre le sport. Quelques coups de fil plus tard et voilà que j’ai donc une tribune dédiée sur 24 secondes, blog éminemment influant dans la sphère politico-sportive. Sans doute ravis de pouvoir s’encanailler contre le pouvoir en place, les responsables de ce blog m’ont chargé de dresser la liste des joueurs NBA qui, « comme moi », sont moins bien connus dans leur milieu que leur père et sont donc catalogués comme fils de... Et que quelque part, ils doivent énormément à la renommée de leur géniteur. Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour garder une bonne cote de popularité en attendant de pouvoir assurer la relève…
PG – Coby Karl
Il vagabonde en fin de banc de diverses équipes, dans un rôle purement anecdotique. George, son père, n’a eu une carrière de joueur que légèrement plus significative. Mais George Karl s’est fait un nom en étant l’un des coachs les plus respectés en NBA, en ayant été notamment 4 fois sur le banc du All-Star Game
SG – Brent Barry
En soi, Brent Barry n’a pas a rougir de sa carrière, couronnée de 2 titres NBA avec les Spurs et même d’un award du meilleur dunker en 1996. Mais il a du se coltiner l’ombre massive de son père Rick. Jugez plutôt du palmarès du vieux : Rookie of the Year en 1966, Champion et MVP des Finales en 1975, 6 fois dans la All-NBA Team, 8 apparitions au All-Star Game dont 1 titre de Mvp. Le tout accompagné bien évidemment d’un paquet de points et divers records. C’était fort logiquement qu’il apparaissait dans la sélection des 50 meilleurs joueurs que la NBA ait connue.
SF – Danny Schayes
Malgré une année énorme à Syracuse, Danny n’aura jamais su concrétiser en NBA, bien ralenti il est vrai par les pépins physiques. Son père Dolph était un All-Star confirmé, avec 12 présences au match des étoiles. Cet Hall of Famer a fait également parti du Top 50 édité par la ligue en 1996. Véritable machine à stats, il a été le premier joueur à cumuler 30 000 PRA (points+rebonds+assists) en carrière. En 1966, trois ans après une expérience d’entraîneur-joueur, il a même été élu meilleur coach de NBA.
PF – Leron Ellis
Lui aussi est un joueur très correct sortant de l’université qui n’a pas su trouver son rythme en NBA. Il faut dire qu’il fallait supporter la comparaison avec papa Leroy, membre de la mythique équipe des Lakers. Celle de 1972, qui a enchaîné 33 victoires consécutives.
C – Larry Mikan
Bien entendu que ce nom vous dit quelque chose. Son père George était surnommé Mr.Basketball, ce qui témoigne du niveau de maîtrise de ce pivot pionnier. Larry, lui, a loin d’avoir eu l’impact de son père ; puisqu’il n’a joué qu’une seule saison, à 3pts et 2 ,5rebs.
*Ceci est bien entendu factice. Si le vrai Jean Sarkozy (ou un membre des RG) nous lis, nous serons honorés de réparer notre erreur de jugement en proposant son vrai 5 majeur.
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