16 septembre 2010

Le 5 de Matthieu Chedid

Comme il faut bien s’occuper avant la reprise de la saison, nous avons demandé à des personnalités de composer leur 5 idéal. Aujourd’hui, c’est Matthieu Chedid, mister mystère, qui s’attèle à la tâche :

Après un été chargé et une rentrée qui s’annonce l’être tout autant, j’ai quand même pris le temps de répondre à l’invitation du blog 24 secondes. Le but était de dresser la liste des joueurs qui comme moi, ont leur père dans le métier mais qui sont bien plus connus que leur géniteur. Je trouve ça un peu vache, mais comme on ne manque pas d’humour dans la famille, je me prête au jeu entre deux riffs de guitare endiablés.

PG – Mike Bibby
Comme mon papa, Henry Bibby a une belle carrière mais n’a pas eu un parcours assez pop pour attirer durablement le feu des projecteurs. Champion NBA dès sa première saison, il était clairement dans l’ombre des Reed, Frazier, Monroe ou Jackson. Il a goûté de nouveau aux joies des Finales avec les 76ers quelques années plus tôt. Mais dans l’inconscient collectif d’aujourd’hui, dur de rivaliser avec le meneur des Kings de l’an 2000.

SG – Kobe Bryant
La star des stars NBA. Il a notamment beaucoup appris de son passage en Italie, où il a suivi son père qui était joueur en A1 League. Joe Bryant était au préalable passé par la NBA avec des clubs comme les 76ers ou les Clippers de San Diego. Un ailier satisfaisant, mais avec des stats trop confidentielles pour exister face à son fils.

SF – Kiki Vandeweghe
Il est vrai qu’il a été aidé par son récent passage à la tête des New Jersey Nets, mais il ne faut pas non plus oublier que Kiki a été 2 fois All-Star. Ernie, son père, a continué d’étudier pendant qu’il foulait les parquets de NBA, ce qui fait qu’il a quitté les Knicks 6 ans après être arrivé pour se diriger vers l’Air Force.

PF – Danny Ferry
Lui aussi a été encore plus sous les feux des projecteurs grâce à son rôle dans les head quarters. En tant que joueur, il n’aura pas su confirmer son énorme potentiel universitaire, mais il est parvenu à arracher un titre avec les Spurs en 2003 avant de raccrocher les baskets. Un parcours très semblable à celui de son père Bob, mais dont la proximité nous fait nous dire qu’il est aujourd’hui plus connu que son père, pourtant ancien Executive of the Year en 1979 et 1982

C – Al Horford
L’an dernier, il a gagné une invitation –certes contestable et contesté- pour le All Star Game. Il s’agit d’un accomplissement que son père Tito, au cours de ses 3 courtes saisons passées dans la ligue, n’a pas su réaliser.

*Ceci est bien entendu factice. Si le vrai Matthieu Chedid nous lis, nous serons honorés de réparer notre erreur de jugement en proposant son vrai 5 majeur.

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